Jean-Luc Thomet - Troger
septembre 2020

Jean-Luc Thomet, directeur du département Transformation/Dépannage : « Nous faisons un métier magnifique »

Entré dans l’entreprise en 1994 en tant que dépanneur, Jean-Luc Thomet dirige aujourd’hui le département Transformation / Dépannage au sein de Troger. Fort de ses 26 ans de métier, ce passionné qui ne compte pas ses heures revient sur son métier et les évolutions qu’il a connues.  Il en profite également pour évoquer les projets de rénovation qu’il pilote actuellement.

Troger. Quels sont les projets sur lesquels vous intervenez ?
Jean-Luc Thomet. Nous travaillons sur de nombreux projets, de diverses natures. Les chantiers de rénovation sont généralement effectués à la demande des régies, mais les propriétaires peuvent aussi faire directement appel à nous. Mon équipe intervient principalement sur la rénovation d’appartements, occupés par leurs locataires ou non. Nous transformons les salles de bains dans les logements, nous changeons les colonnes des immeubles, nous rénovons tout le système de distribution au sol. Actuellement, nous travaillons sur la rénovation complète d’un immeuble de 72 logements situé chemin de la Traille à Genève. Mon équipe œuvre également depuis un an sur la rénovation de toute la tuyauterie du CICG (Centre International de Conférences de Genève).

Quelles sont les raisons du succès de Troger en matière de rénovation ?
Il y a plusieurs facteurs qui expliquent notre succès. Pour ce qui est des projets de transformation, cela tient surtout à la grande disponibilité des équipes et aux compétences des chefs de chantier. Nous parvenons à nous distinguer de la concurrence par nos prix, particulièrement compétitifs. Depuis 26 ans que je suis dans le métier, je connais bien mes clients, ainsi que mes fournisseurs. Ce sont aussi ces bonnes relations qui permettent de faire la différence.

Depuis vos débuts, avez-vous vu votre métier évoluer ?
Le métier a beaucoup changé tandis que les matériaux se sont diversifiés et améliorés. Du point de vue des méthodes de travail, le contexte est différent. Désormais, les chefs de chantier sont tous équipés de tablettes numériques, des terminaux sur lesquels ils reçoivent des informations, mais aussi des plans, des croquis, des schémas…

Qu’aimez-vous dans votre métier ?
D’abord, pour le contact humain. Avec les locataires chez qui nous intervenons, nous devons être attentifs, toujours à l’écoute, afin que les travaux se déroulent dans les meilleures conditions, pour eux comme pour nous. J’accompagne également les propriétaires chez les fournisseurs afin de les conseiller et de les aider à choisir tel ou tel appareil sanitaire. En 26 ans passés chez Troger, j’ai su gagner leur confiance, à tel point que désormais, ils me contactent directement pour me proposer une affaire ou les aider à résoudre un problème.
Ensuite, c’est un métier magnifique, très complet. Nous travaillons depuis le sous-sol, avec la gestion des eaux usées, jusqu’à la salle de bains dans laquelle nous effectuons les finitions en fonction des besoins et des préférences des occupants. Il y a une dimension technique, mais aussi humaine et esthétique qui fait, je pense, tout l’intérêt de notre activité.